Archives de catégorie : Fiches Pra’TIC

Présentation d’outils, d’usages numériques

Les outils indispensables pour le webmarketing

Un webmarketeur sans outils c’est comme un bucheron sans sa scie ou un électricien sans tensiomètre! bref c’est juste impensable ! Un webmarketeur qui souhaite exercer réellement ses talents doit impérativement disposer de THE boite à outils performante avec le nécessaire pour répondre à toute situation !

Plusieurs articles circulent sur le net proposant divers outils. Ce que je propose c’est le nec-plus- ultra, les outils dispensés par plusieurs professeurs parmi les meilleurs spécialistes dans leurs domaines en webmarketing, le pur jus distillé durant 6 mois de formation à l’IAE de Toulouse !

Voici la liste – appelé à évoluer bien sûr- pour chaque branche de besoin ! Espérant qu’elle vous rendra d’innombrables services, bonne lecture 😉 !

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Créer des campagnes Adwords performantes : découvrez nos conseils

Campagnes-Adwords-efficaces-conseils

Comment créer une campagne Adwords pour un site web de vente de produits naturels ?

D’une façon générale, il est primordial de formuler ses objectifs avant de se lancer dans la création de vos campagnes Adwords :

  • Quel est votre objectif publicitaire ?
    Vous souhaitez obtenir des clics vers votre site ou des ventes ou demandes via votre site internet ?
  • Souhaitez-vous faire une campagne autour de votre marque pour la faire connaître ? Autour de vos produits pour les vendre ?
  • Quel budget consacrez-vous à la publicité traditionnelle et combien vous rapporte-t-elle ?
  • Quel budget souhaitez-vous accorder à vos campagnes Adwords ?

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Conseils pour une campagne SMS efficace

Avec un taux d’équipement mobile de près de 100% en France, le SMS est de plus en plus utilisé par les entreprises pour leur communication que ce soit en BtoC ou en BtoB. Média de l’instantanéité par excellence, il permet pour un coût relativement modéré une communication rapide, simple et efficace avec un taux d’ouverture de 97% contre 29% pour son cousin l’e-mail.

Les atouts de ce média de marketing direct ne sont plus à démontrer notamment concernant la fidélisation. Il convient cependant de l’optimiser pour qu’il entraîne la conversion. Je vous propose donc quelques conseils en ce sens.

Un message fort et percutant

Un SMS est limité à 160 caractères, l’enjeu est donc de susciter l’intérêt en 30 mots environ. On peut par exemple utiliser le principe des trois temps : Question – Réponse – Action, en n’oubliant pas de préciser le lieu et la date de l’offre concernée et par exemple un lien vers un site Internet. Exemples : « Envie d’une petite robe pour cet été ? -20% sur toutes les robes du 2 au 10 mai. Rendez-vous dans votre magasin « … » ou sur www.lesite.net — « Vendeur de produits online ? Découvrez un nouveau modèle de vente en ligne prometteur en lisant cet article bit.ly/11Fl1iw »

L’humour peut aussi être un bon moyen de susciter l’intérêt de votre destinataire et créer une sorte de connivence avec lui.

Pour renforcer l’impact du message n’hésitez-pas à utiliser des majuscules et des signes de ponctuation.

Enfin, si vous insérez un lien hypertexte dans votre SMS, pensez à le traquer en utilisant l’outil de création d’URL de Google. Ceci vous permettra de pouvoir identifier le trafic provenant de votre campagne dans Google Analytics. Il est alors indispensable d’utiliser un site de réduction d’URL tels que bit.ly ou ick.li, qui peut de toute façon s’avérer très utile pour maximiser le plus possible la taille de votre message.

Une offre attrayante

Il faut proposer au destinataire quelque-chose de suffisamment ciblé et intéressant pour qu’il entreprenne l’action souhaitée comme par exemple une réduction substantielle, un cadeau, un concours…

Un envoi au bon moment

La réglementation interdit d’envoyer des messages publicitaires par SMS les dimanche et  jours fériés et entre 21h et 6h du matin. Outre le respect de ces dispositions légales, il convient d’adapter le moment d’envoi du message en fonction du secteur d’activité, de la cible et du contenu du message de manière à ce que le destinataire puisse accomplir l’action visée immédiatement ou presque.

La fréquence d’envoi recommandée est d’un à deux SMS par mois maximum, au delà vous risqueriez de lasser ou d’importuner votre client ou prospect.

Une base en opt-in

Que votre message concerne vos clients ou des prospects, il est fortement recommandé d’utiliser des numéros de téléphone collectés avec l’accord de leur propriétaire. En effet, l’inverse pourrait susciter du mécontentement et nuire à l’image de votre entreprise. Votre message doit permettre d’identifier clairement votre société et éventuellement mentionner la possibilité de se désabonner (ex : Stop SMS)… s’il vous reste de la place !

Pour conclure, vous pouvez retenir qu’il est important, comme pour tout média du marketing direct, de s’adresser à la bonne personne, au bon moment et au bon endroit si possible.

MjMy

Optimiser la balise meta description d’une page

Si vous possédez un site Internet vous avez sûrement entendu parler de la balise meta description.  Comme le terme « balise » ne parlera pas forcément à tout le monde, voici une petite définition issue de Dico du Net :

« Une balise sert à délimiter des ensembles de données contenues dans un document afin de permettre la structuration de ce document à l’aide d’un langage spécialisé (un langage de balisage), selon des normes bien précises. »

Revenons à notre fameuse balise meta description. Positionnée entre les balises <title> et </head> (balise de fin d’en-tête), elle sert à donner une information précise à la fois aux robots des moteurs de recherche et aux internautes sur le contenu de la page référencée. Celle-ci n’entre plus depuis un petit moment dans le positionnement de vos pages dans les principaux moteurs de recherche (PageRank) mais elle est néanmoins très importante et doit être optimisée. Et pourquoi donc du coup ?

Tout simplement car son contenu correspond à ce qui va être affiché dans les résultats des moteurs de recherche juste en dessous du titre de la page. Cette description devra donner envie à l’internaute qui effectue une recherche de visiter votre page et pas celles de vos concurrents affichées en dessous ou au dessus d’elle dans la page de résultats.

La finalité du référencement naturel n’est pas en soi le bon positionnement des pages sur les moteurs de recherche, mais bien de générer le plus de trafic qualifié possible sur votre site. L’enjeu va être de favoriser les clics sur les résultats correspondant à vos pages en rendant votre description attirante. Et, de manière induite, un accroissement du nombre de clics peut entraîner un meilleur PageRank.

 

Voici quelques conseils pour optimiser la rédaction de cette balise si importante :

  • Vérifiez que la description de votre page soit bien en adéquation avec le titre de celle-ci et son contenu. En effet, les moteurs de recherche sanctionnent toute incohérence détectée entre ces éléments qui peut être considérée comme du spam.
  • Le contenu doit être court et percutant avec un maximum de 156 caractères espaces inclus, au delà celui-ci sera tronqué. N’hésitez pas à utiliser des chiffres et des diminutifs qui permettront de raccourcir son contenu et le rendre plus impactant.
  • Rédigez la balise en ayant en tête de développer le titre et de résumer le contenu de la page.
  • Rédigez des phrases avec des verbes et non une liste de mots clés sous peine que la page soit considérée comme du spam.
  • Comme dans un e-mailing ou sur une landing page, adressez-vous directement à l’internaute avec un « Call to Action« , message incitatif poussant celui-ci à agir comme par exemple « Découvrez… », « Visitez… », etc.
  • Mettez en avant vos avantages concurrentiels.
  • Reprenez un ou deux des principaux mots clés de votre page. En effet, Google affiche en gras dans les résultats de recherche les mots clés qui ont été saisis par l’internaute ce qui va favoriser les clics.
  • Evitez de copier-coller du contenu qui est présent sur la page en question.
  • Rédigez une description pour chaque page du site.

Si le contenu de la balise meta description n’est pas jugé par Google suffisamment descriptif du contenu de la page ou bien de mauvaise qualité, celui-ci affichera à la place un extrait du texte présent sur la page.

 

Un petit exemple

Pour illustrer ces conseils, je vous propose de prendre un cas concret, celui de la page « Bons Plans Restaurant » de Groupon qui me semble être un bon exemple de balise meta optimisée. La balise meta est : <meta name= »description » content= »Retrouvez les Offres Restaurant et économisez jusqu&#39;à 70%. Testez les meilleurs Restaurants avec les Promos et explorez votre ville autrement sur Groupon.fr« >

Voici donc ce qui s’affiche comme premier résultat en référencement naturel sur Google pour les mots clés « bons plans restaurant » :

Exemple de résultat de recherche Google

 

 

 

En conclusion, si vous ne devez retenir qu’une chose : mettez dans cette balise des informations pertinentes et incitatives qui permettent à l’internaute de voir en un coup d’œil si ce qu’il recherche est présent sur votre page et lui donnent envie d’aller y faire un tour.

 

Création d’un site – Cartographie de l’arborescence

Cartographie – On se promène ou on fabrique un site ?

A la question (apparemment tintée d’une pointe d’humour) posée dans ce titre évocateur, je répondrai avec beaucoup plus de sérieux que l’on fait les deux.

Et bien oui l’intérêt de cartographier son site, avant de se lancer plus loin, est double (ainsi que la tâche). Il s’agira bien évidemment, suite à l’étape de réflexion initiale relative aux idées et thématiques que l’on souhaite promouvoir au travers de son site, de classer ces dernières et de les organiser entre elles. Mais au delà de ce travail, il s’agira aussi (et surtout) de mettre en place et de visualiser les « chemins » de navigation à venir entre ces items, et donc d’identifier les liaisons entre vos pages.

Et oui, on va donc bien se promener ! Et il est fort possible que la balade soit longue.

Allez ,on organise…

Normalement, vous avez dû, au tout début de votre projet, identifier vos différentes rubriques. On commencera donc par les hiérarchiser, les regrouper, et les organiser.

A ce niveau pas de secret ni de complexification : un seul outil le papier-crayon ! (oui vous pouvez quand même utiliser votre ordinateur et son éditeur de texte ou de diapo !!!). On commence donc par définir des niveaux de hiérarchie selon l’importance des rubriques, en commençant par la page d’accueil qui représentera automatiquement le niveau 1. Ensuite, mon conseil est de se limiter à 2 niveaux supplémentaires relatifs aux rubriques principales et aux sous-rubriques. A considérer que les rubriques principales présenteront un contenu simple, épuré et immédiatement clair pour l’internaute, le détail étant plutôt réservé aux sous-rubriques.  Une fois faite cette organisation, il n’ y a plus qu’à représenter les rubriques ainsi définies (niveaux 1, 2 et 3) sous la forme d’une arborescence à plat.

Ca peut donner un truc dans le genre :

 

Cartographie site internet

Cartographie site internet

Et maintenant, on relie…

Ben oui, parce mon cher petit internaute sagement en train de lire ma fiche produit n°5, et à ma grande joie, désireux d’en effectuer l’achat, il ne faudrait pas qu’il doive remonter l’arborescence jusqu’à la page d’accueil pour rejoindre celle des contacts (ou autre formulaire d’achat dans cet exemple). C’est qu’il ne faudrait pas le punir par une balade trop longue, mon cher internaute ! N’oubliez jamais votre objectif de conversion, et donc le tunnel efficace permettant d’atteindre cet objectif. En bref, imaginez vous en train de vous « balader » sur le site, et élaborez de « belles pistes » en accord avec votre objectif de conversion.

Ça donnerait donc un truc dans le genre :

Liaisons entre les rubriques

Liaisons entre les rubriques

 

On vient donc tout simplement de formaliser le menu de notre futur site, et les liaisons entre les pages de ce dernier.

A noter qu’une autre méthodologie peut être appliquée à ce niveau, selon la complexité et le nombre de « chemins » que vous voulez mettre en place. Il s’agira ici de représenter horizontalement sur une ligne dédiée chaque chemin correspondant à un process menant aux objectifs prévus.

Pour exemple, le schéma ci-dessous :

Cartographie Process

Représentation linéaire process de navigation

 

Si votre projet s’avère bien imposant et/ou complexe, et que donc notre célèbre feuille de papier ou informatique s’avère limitée, n’hésitez pas à vous tourner vers des applications de « mindmapping » vous permettant d’éditer de jolies cartes heuristiques, que vous trouverez facilement sur le net; pour en citer quelques uns à la volée: FresMind, Mindjet ou Xmind.

Cette étape primordiale enfin validée, il sera temps de réfléchir à la structure interne du site et passer ainsi à l’étape de la représentation des pages ou wireframing.

En espérant en avoir aidé certains dans leurs démarches, n’hésitez pas à laisser vos commentaires et indiquer d’autres méthodologies.

Allez à vos stylos ! Cartographiez et commentez !

Création d’un site – l’étape fondamentale du wireframe

Wireframe – Qu’est-ce que c’est et pourquoi ?

Sous ce magnifique anglicisme barbare qui déplaira fortement à Mr TOUBON (quelqu’un dans la salle se souvient-il de Mr TOUBON ?) se cache l’appellation d’une étape fondamentale de la création d’un site. Cette étape initiale du projet suit directement celle de la cartographie (exposée dans l’article correspondant ici). Pour rester « frenchy touch », on parlera donc de la « maquette fil de fer ». Alors non, il ne s’agit pas ici de fabriquer via vos petites « mimines » et quelques trombones un personnage décoratif pour votre bureau, mais bien de réaliser une première maquette simpliste représentant l’organisation fonctionnelle des pages (nature et liaisons) qui constitueront votre site.

Think Simply !

Think Simply !

 

A ce niveau, et parce que vous êtes un lecteur assidu de ce blog, vous disposez donc d’une cartographie finalisée de votre site. C’est à partir de cette dernière que vous allez représenter l’organisation de chacune des pages. Ici, il s’agira donc tout simplement de positionner sur votre support (représentant une page) des « blocs » ou autres boites de textes, représentatifs des principaux éléments et fonctionnalités que vous souhaitez voir apparaître sur vos différentes pages, et d’ainsi toutes les décliner (page d’accueil, formulaire, page de contenus, etc…). Vous allez ici, page après page, définir schématiquement le contenu prioritaire de votre site.

 

Bloc Lego

Lors de cette phase de travail, il s’avère primordial de garder en tête l’objectif premier de votre site. En effet, la nature, l’organisation, le placement et le déroulé des pages doit assurer le maximum de conversion. Ainsi, élaborez votre maquette en gardant cet objectif constamment à l’esprit, afin d’éviter de lourds correctifs sur la partie Webdesign qui suivra plus tard.

Un avis très personnel mais que je pense néanmoins essentiel : « Think and do simply« ; oups ! (pardon Mr TOUBON), je voulais dire « Pensez et faites simple ». En effet, cette étape de réalisation de son « wireframe » (oh flûte alors ! Mr TOUBON ? En fait, ça serait plus simple pour tout le monde si vous sortiez, merci !), permet justement de réfléchir à l’ergonomie finale de son site pour atteindre au plus vite et au mieux son objectif. Autant il sera évident de consolider et compléter son site à posteriori, autant simplifier un site une fois une multitude de pages, liens et autres modules mis en place, s’avérera plus que délicat et chronophage (donc coûteux).

Une fois ces éléments en tête, vous pouvez donc vous lancer dans la conception de votre wireframe, euh pardon…, zoning, …ah, non mince, votre maquette fil de fer ! (Vous êtes parti, Mr TOUBON ?).

Wireframe – Comment faire ?

Bien à ce niveau le débat peut-être un peu plus long ; pas vraiment au niveau du travail à effectuer mais plutôt des outils à utiliser. Mais bon, ici c’est un article de blog Mesdames et Messieurs, et donc, non, il ne sera pas possible pour moi de rédiger un paragraphe descriptif de toutes les possibilités avec mon avis éclairé sur chacune. Ainsi, je me contenterai donc de lister les possibilités, et de vous laisser vous en remettre à vous-même pour le choix. Du simple au plus élaboré (n’oubliez pas « Think and do simply, vous inquiétez pas TOUBON est parti) :

– le bon vieux papier-crayon, c’est tout bête mais ça marche depuis des millénaires !

Exemple de Wireframe

Le plus simple

– les trombones et les « mimines » ! Non là je déconne, c’est pour voir si vous suiviez encore…

– le niveau supérieur reste un bon outil de diaporama d’un certain leader mondial de système d’exploitation arborant le doux et sympathique nom de « Fenêtre » (dommage qu’il soit parti du coup le père TOUBON, il aurait été content). La difficulté (ou non) ici, sera pour vous de vous créer votre propre bibliothèque d’éléments représentatifs.

– les applications dédiées en ligne : Mocknow, et Wireframe.cc ;

– les applications dédiées en installation locale : Balsamiq et Lumzi.

Il existe bien d’autres applications, alors n’hésitez pas à en proposer dans les commentaires.

Tout ce qu’il faut savoir sur les QR Codes

Ils ont poussé comme des champignons dans les magazines, sur les affiches, flyers et autres supports de communication appelant tous les possesseurs de smartphones à les scanner avec leur appareil. Ces petits carrés souvent noirs et blancs contenant des pixels que sont les « Quick Response » Codes, plus communément appelés QR Codes, sont apparus au Japon dans les années 90. Ce sont finalement des codes barres 2.0 en 2 dimensions qui contiennent davantage d’informations que leurs cousins en barres présents sur tous nos produits de grande consommation.

Les informations contenues vont, une fois le code scanné par votre smartphone, vous renvoyer sur une page web ou déclencher une action particulière. Les actions qui peuvent être déclenchées par ce biais sont multiples :

  • afficher un texte simple,
  • passer un appel téléphonique,
  • envoyer un SMS ou un e-mail,
  • enregistrer directement une carte de visite dans le carnet d’adresses de votre téléphone,
  • inscrire un évènement dans votre calendrier,
  • enregistrer les identifiants d’un réseau Wifi dans votre téléphone,
  • autoriser un paiement en direct,
  • télécharger une application,
  • … presque tous types d’action sont possibles.

Certains verront le QR Code comme un gadget et diront : « Quel est son intérêt sachant que toutes ces actions sont réalisables directement sur smartphone ou ordinateur sans passer par le scan d’un code ? ». Tout simplement parce qu’il apporte un côté interactif, ludique et instantané que le public recherche de plus en plus à l’heure du So Lo Mo.

Et pour une entreprise quel est l’intérêt ?

  • Tout d’abord cette technologie est presque gratuite et vous permettra de communiquer de manière ludique et à moindres frais en direction de votre clientèle équipée de smartphones.
  • D’un point de vue ROI et analyse du comportement du consommateur ou client, cet outil pourra permettre via Google Analytics et un tracking approprié de voir combien d’affiches ont été scannées, l’impact de votre campagne QR Code sur vos ventes en ligne, etc.
  • Enfin, sa taille petite mais aussi modulable permet de l’insérer sur bon nombre de supports et packagings.

Attention cependant à ses limites :

  • Seuls les utilisateurs de smartphones ou autres tablettes équipées d’une caméra et d’une application adéquate pour lire les QR Codes (des applications de lecture de QR Code sont disponibles gratuitement pour tous les systèmes d’exploitation) pourront effectuer l’action qui y est encodée. Le public visé sera donc restreint même si le taux d’équipement en smartphones ne cesse d’augmenter.
  • Mis à part quelques exceptions telles que l’affichage d’un texte simple ou d’un code promo, le QR Code nécessite assez souvent une connexion à Internet et s’avère donc inutilisable dans les lieux reculés ou bien tout simplement dans le métro.
  • Il faut faire attention à la lisibilité du code par les téléphones.

Si après la lecture de tout cela vous êtes tentés par l’expérience, voici quelques conseils pour une campagne QR Code :

  • Personnalisez-votre QR Code avec des couleurs, une insertion du logo de votre entreprise, des formes originales…
  • Contrastez les couleurs : la couleur du fond et du code lui-même doivent être fortement contrastées sinon le risque est de ne pas parvenir à le décoder avec le smartphone.
  • Adaptez la taille du code à l’environnement de lecture. Il est conseillé de ne pas concevoir de QR Code de dimension inférieure à 3 cm x 3cm afin de permettre à tous types d’appareils de le lire. La taille du QR Code va augmenter proportionnellement à la distance à laquelle l’utilisateur va scanner le code. Taille idéale = distance de scan / 10.
  • Sélectionnez des supports avec une surface plane non réfléchissante et des environnements facilitant la visibilité et la lecture (éviter les endroits sombres) et permettant une connexion aux réseaux téléphoniques mobiles.
  • Expliquez le fonctionnement de votre QR Code par un court message.
  • Offrez de la valeur ajoutée à l’utilisateur : proposez-lui un contenu/service intéressant qui l’incitera à scanner votre code. Si vous le renvoyez sur une page web, veillez à optimiser votre landing page et votre site pour une navigation sur mobile.
  • Testez et re-testez votre QR Code avant toute campagne.

Pour finir, rien de plus simple pour tester la conception d’un QR Code ! Rendez-vous sur le site d’Unitag, une start-up toulousaine, sur lequel j’ai pu moi-même créer un QR Code à l’aide de la page ci-dessous.

Unitag

Et voici ce que l’on obtient :unitag_qrcode_1364642666240

Il ne reste plus qu’à le scanner ! Et là, c’est à vous de jouer !

MjMy

Facebook : profil, groupe ou page fan pour les professionnels ?

Facebook permet de créer plusieurs types de pages, ce qui peut dérouter parfois. Voici quelques explications pour s’y retrouver.

La création de son profil, première et incontournable étape.Le profil personnel doit être créé avec son propre nom. Facebook interdit d’utiliser son profil personnel à des fins commerciales et surveille l’application de cette  règle.

Ensuite le but  sera de créer une interaction entre amis, de les ajouter afin qu’ils reçoivent une invitation. Ils  ne deviendront vos amis sur Facebook que dans la mesure ou ils l’auront acceptée. Vous recevrez alors une notification et vous pourrez échanger avec eux. La création de liste permet de les classer par affinités.

La création de groupes permet de  convier des personnes à des événements qui les concernent tous. Chaque fois qu’une personne écrit dans un groupe, toutes celles qui en font partie reçoivent une notification.

Les groupes ne sont pas indexés par les moteurs de recherche et aucune statistique n’est créée par Facebook.

La page fan : le coeur de l’activité. Elle est vue par tous les internautes même s’ils n’ont pas de compte Facebook. Elle sera indexée par moteurs de recherche et Facebook fournit des statistiques sur les visiteurs.La création de la page fan doit faire l’objet d’une réflexion car elle s’intègre dans une politique de communication à la fois générale et sur les réseaux sociaux. Elle peut permettre de répondre à plusieurs  objectifs :

. renforcer la notoriété

. fidéliser

. augmenter le trafic sur un site et les ventes

. connaître les attentes des clients

Les fans sont les meilleurs clients, ils seront a l’affût des dernières publications, à la recherche de conseils, d’offres ou d’infos privilégiées qu’ils recevront sur leur fil d’actualité.

Un éclairage supplémentaires avec quelques exemples de pages Facebook réussies par Isabelle Mathieu, consultante social média

Le top 5 des pages les plus vues de la semaine :
Top 5 page facebook

Classement hebdomadaire des 5 pages le plus vues -Source : Tribord

A lire également sur le blog un autre post qui va vous intéresser : « Comment prospecter sur les réseaux sociaux professionnels ? »

 

LiLi