Archives de catégorie : Fiches Pra’TIC

Présentation d’outils, d’usages numériques

6 conseils pour optimiser vos campagnes google ads

La publicité sur Google : 6 conseils simples pour réussir sur Google Ads

Créer et mettre en ligne une campagne publicitaire sur Google Ads : tout le monde en est capable. Cependant, si vous attendez que vos campagnes performent sans rien faire, cela peut vite vous coûter très cher. Voici donc nos 6 conseils simples pour réussir avec Google Ads.

1 – Etudier son marché

Connaître son marché peut paraître simple, mais connaître parfaitement son marché vous permettra d’avoir une idée lucide sur vos objectifs et d’y allouer le budget nécessaire.

La connaissance des modes de fonctionnement de vos concurrents est également essentielle, Comment rédigent-ils leurs annonces ? Quels mots clés utilisent-ils ? Ou même simplement : font-ils de la pub sur Google ? Toutes ces informations vont vous permettre de faire une publicité efficace et de déterminer vos avantages concurrentiels.

Enfin, la bonne connaissance de votre cible est impérative. On parle dans ce premier conseil de fondamentaux mais qui ne sont très souvent négligés. Vos produits n’intéressent pas tout le monde, il est important donc de définir précisément vos cibles et quels sont leurs usages (l’utilisation des personas ou encore de user journey est fortement recommandé afin de définir votre client goal).

2 – Bien structurer son compte

Ce conseil ne vous servira pas uniquement pour Adwords, mais sachez que l’organisation de votre compte vous fera gagner un temps précieux que vous pourrez pleinement investir dans l’optimisation de vos annonces.

Une structure claire vous permettra d’avoir une vision globale de vos performances. Ainsi, vous aurez une vision plus claire pour comparer vos campagnes, identifier les failles de ces dernières plus facilement, de tester, suspendre ou conserver des groupes d’annonces, mots clés ou annonces en fonction de leurs performances.

Astuces :

  • Suivez l’organisation de votre site internet en partant des vos produits et gamme de produits : votre compte Google Ads doit être le miroir de l’arborescence de votre site web.
  • Ne mélangez pas vos produits ou thématiques dans une même campagne.
  • Ne laissez jamais vos groupes d’annonces avec une seule annonce : avoir au moins deux annonces permet de faire voir laquelle fonctionne le mieux et de tester des wording différents.
  • Assurez-vous que les mots clés choisis soient en lien direct avec les produits vendus, présent dans le wording de vos annonces et que votre landing page soit en parfaite adéquation avec votre annonce (la qualité de la page de destination influe sur la qualité de votre annonce).

Exemple de structure de compte Google Ads

3 – Optimiser son budget

Il n’est jamais bien simple de savoir quel budget attribué à une campagne Google Ads. Le plus important est d’être en mesure de contrôler ses performances et en particulier son ROI (une campagne non rentable est une mauvaise campagne, pas de surprise). Pour vous aider à fixer un budget, ayez conscience du coût par clic moyen des mots clés que vous ciblez, la concurrence sur ces mots et le volume de recherche attendu afin de calculer au plus juste vos gains. Dernier conseil, capitaliser sur les produits top des ventes de votre site !

Par optimisation, entendez aussi que vous ne devez pas payer pour des clics inutiles : faites attention à bien exclure les mots ou expressions qui ne vous rapportent aucun client (exemple : si vous êtes l’opérateur Orange, ls clients cherchant à acheter une orange ne vous intéressent pas). Ainsi vous améliorerez vos taux de clics puisque que vos annonces correspondront parfaitement aux attentes de vos consommateurs, et vous ne dépensez pas de budget inutilement.

Ainsi, n’hésitez donc pas à suspendre ou supprimer les annonces avec le taux de clics le plus faible et comprendre ce qui n’a pas performé et en créer de plus performantes.

En mettant en concurrence vos annonces sous forme d’un A/B test, vous pouvez ainsi les optimiser et rendre vos campagnes plus performantes.

4 – Bien choisir son réseau

Vous savez maintenant comment vous y prendre pour bien optimiser votre budget et donc maximiser vos ventes. Encore faut-il avoir fait le bon choix de campagnes. Certains le savent peut être déjà : il existe plusieurs type de « campagnes » disponibles sur Google Ads. Pour vous aider à y voir plus clair, voici un listing des principaux types de campagnes et leurs avantages pour vous aider à faire les bons choix.

Il faut savoir que Google Ads vous donne accès à deux “réseaux” :

Le search (ou réseau de recherche Google)

Faire de la publicité sur le réseau vous permet de proposer des annonces textuelles aux internautes parmi les résultats s’affichant suite à leur requête sur le moteur. Ce type de campagne est compatible avec tout type de produit ou service et vous permet d’afficher vos annonces sur tous les sites de Google (google.fr, google.com, google maps ou encore google shopping par exemple). Vous pouvez aussi faire le choix de diffuser vos annonces sur des sites partenaires comme par exemple Bing ou Yahoo.

Les avantages :

  • Des internautes bien ciblés grâce à leur intention de recherche
  • La possibilité de s’afficher parmi les premier résultats dans les SERP
  • Vous payer seulement au clic et non à l’affichage, donc uniquement pour des visites sur votre site

Le réseau display

Beaucoup moins axé sur le retour sur investissement, le réseau display répond plutôt à des objectifs de notoriété et est souvent conseillé dans des campagnes de remarketing. Ce réseau consiste à afficher des annonces au format varié (textuelles ou visuelles) sur différentes plateformes comme par exemple YouTube, Gmail, mais surtout le réseau display offre des emplacements sur des millions de  sites dont certains à très fort trafic (comme lemonde.fr, lequipe.fr, …). Google estime pouvoir toucher 80% des internautes via ce réseau.

Les avantages :

  • Un accès à un réseau capable de toucher 80% des internautes
  • La possibilité de diffuser des annonces au formats variés (texte, image, vidéo)
  • La possibilité de cibler ses annonces via des ciblage par intentions ou comportement

display vs search

5 – Choisir le bon ciblage

Nous venons de l’évoquer brièvement : Google Ads vous permet de cibler des internautes via des critères bien précis pour vous permettre de maximiser les performances de vos campagnes. Voici un aperçu des ciblages disponibles dans l’outil :

Le ciblage géographique et linguistique : toucher les internautes qui sont dans une zone géographique particulière (sachez que si vous ciblez des pays étrangers, vos annonces s’afficheront uniquement sur les internautes ayant paramétrer leur navigateur en français).
Le ciblage par intérêts : permet de cibler les internautes par type d’intérêts (par exemple les sports de montagne, la cuisine ou encore le tennis.
Le ciblage démographique : à chaque cible ses particularités ; peut-être que les vôtres ont entre 18 et 30 ans ? Ce paramètre vous permettra de segmenter vos cibles.
Le ciblage contextuel : très pratique, ce paramètre permet d’identifier le contenu et le contexte de votre site et de diffuser vos annonces aux internautes que Google identifie comme des clients potentiels.
Le retargeting : très très utilisé par les sites e-commerces, le retargeting vous permet de cibler les internautes ayant déjà visité votre site web. Idéal pour convertir les prospects qui ont du mal à se décider !

6 – Faire une bonne annonce

Vous touchez au but ! Si vous avez suivis nos conseils jusqu’ici, vous savez désormais comment créer votre campagne, gérer le budget de ces dernières, et quelles options choisir pour votre ciblage. Vous l’aurez compris, la dernière étape consiste à faire une bonne annonce.

Voici nos derniers conseils pour créer une bonne annonce :

  • Choisir des mots clés en lien direct avec votre produit ou service : plus vous vous égarez, plus votre annonce sera dévalorisée.
  • Dans le cas des annonces sur le réseau search, choisissez un wording qui reprend vos mot clés principaux et qui est pertinent pour votre cible.
  • Pour le réseau display, optez pour des images a peu de texte (pas plus de 10% du total de l’image) ; pour les vidéos, préférez les formats court et légers en texte également.
  • Visez une page qui est attendu par les internautes : rien de pire que de faire une publicité pour un smartphone et arriver sur une page qui vend uniquement les accessoires associés au produit… Et ce, sans compter la forte dévalorisation de votre annonce, voire de votre compte.
  • Ne vous privez surtout pas d’utiliser les extensions d’annonces : en plus d’occuper plus d’espace visuel dans les SERP, les annonces enrichies ont un taux de clic supérieur aux autres annonces.
  • Optimiser votre landing page : une page optimisée pour convertir et qui plaît aux internautes est le meilleur moyen d’envoyer un signal positif à Google et de lui montrer que votre annonce est la meilleure ! Google la valorisera par rapport à vos concurrents.
  • Objectif QS ! Le Quality Score est la note apportée par Google à votre annonce et qui détermine plusieurs critères comme le coût de vos campagnes, votre position dans les SERP, ou encore votre fréquence d’affichage.

Vous savez désormais comment créer vos annonces sur Google Ads et les optimiser, alors qu’est ce que vous attendez pour vous lancer ?

Si vous souhaitez avoir des informations plus précises, rien de mieux que les fiches d’information de Google lui même. Et si vous souhaitez devenir un expert, passez vos certification sur Google Academy !

Si vous avez des questions sur cet article, que vous relevez des erreurs ou que vous souhaitez l’enrichir, rédigez un commentaire et échangeons sur le sujet !

Article co-rédigé par Léna Betton & Hugo Bertholet

Financer votre formation continue en Marketing Digital

Comment financer votre formation continue Master en Marketing Digital ?

Vous avez envie de suivre une formation en Marketing Digital dans le cadre d’une évolution ou une reconversion professionnelle, cet article vous fait le point sur comment financer votre formation.

Pour exemple, le Master 2 Marketing Digital à TSM que je suis entrain de suivre coûte 7500 € HT (9000 € TTC). Pour les demandeurs d’emploi, le coût est de 6000 € HT (soit 7200€ TTC). Un budget relativement important à sortir, heureusement il existe des dispositifs pour financer votre reprise d’étude.

Les financements disponibles pour votre formation professionnelle :

Que vous soyez salarié.e ou demandeur.se d’emploi, voici les dispositifs de financement de la formation auxquels vous pouvez accéder pour votre reprise d’étude.

Le financement CPF pour tous les actifs :

Les financements de la formation des salariés :

Les financements pour demandeurs d’emploi :

Le financement CPF de la formation pour tous les actifs

Le CPF est votre compte personnel de formation. Il existe depuis 2015, chaque année votre employeur abonde votre compte CPF de 500€ (plafond du compte à 5000€ soit 10 ans).

Consultez votre compte formation afin de voir à combien s’élève votre CPF

Utiliser votre CPF

Vous pouvez disposer librement de votre CPF pour financer une formation. Pour utiliser votre CPF, vous devez passer par votre compte CPF , la formation Master 2 Marketing Digital a le code CPF 242123 et est enregistré au RNCP avec le n°  26211.

Toutefois, il existe certaines limites :

  • Le CPF est plafonné à 5000€
  • Le financement CPF de la formation est fixé à 15€/heure1
  • Sans accord avec l’employeur, il s’agit de Formation Hors Temps de Travail (FHTT), c’est-à-dire réalisé sur votre temps libre.

*Pour les salariés, en 2019, certains OPCO (organismes qui cofinancent la formation des entreprises) valorise l’heure de formation CPF à un taux supérieur à 15€/heure selon votre branche professionnelle. A partir de 2020, sauf changement, le montant sera pour tous de 15 € par heure de formation.

Autrement dit, il sera quasi impossible de financer totalement votre Master 2 Marketing Digital à TSM avec votre CPF :

  • Le plafond à 5000€ ne couvre pas la totalité des frais
  • L’heure de formation est finançable à hauteur de 15€/heure avec votre CPF. Le M2 Marketing Digital à TSM faisant 300h de formation, vous pourrez utiliser jusqu’à 4500€ de votre CPF1.

Il vous faudra soit compléter le financement de votre formation par un autofinancement soit demander à votre employeur de compléter le financement par le plan de développement des compétences de l’entreprise.

Les financements de la formation des salariés :

Faire participer votre entreprise au financement CPF de votre formation

Salarié.e.s, vous l’aurez compris, vous aurez besoin de l’accord de votre entreprise pour suivre le Master 2 Marketing Digital si vous voulez passer par un financement CPF, pour 2 raisons :

  • Pour suivre la formation sur votre temps de travail ou prendre les congés correspondant
  • Pour demander à votre entreprise de co-financer votre formation en complément de votre CPF

L’entretien annuel, voire un entretien provoqué à votre initiative, est l’occasion de demander à votre employeur de vous accompagner sur votre projet de formation. Il s’agit de négocier avec employeur votre projet de formation, en simple votre projet professionnel de formation apportera une plus-value à l’entreprise et  à votre carrière au sein de celle-ci.

Votre employeur a des obligations de formation de ses collaborateurs et des fonds dédiés au travers du plan de développement des compétences, développé dans le chapitre suivant.

Le CPF de Transition pour votre reconversion professionnelle

Ce dispositif est dédié au financement de reconversion professionnelle par une formation diplômante ou certifiante éligibles au CPF. Il vous permet d’obtenir un congé durant les heures de formation, de conserver des revenus et de couvrir les frais de formations. Le CPF de Transition mobilise votre CPF et le complète.

Le CPF de Transition remplace le Congé Individuel de Formation (CIF)Autant le dire de suite, il était difficile pour un cadre qualifié d’obtenir un CIF, il le sera aussi pour le CPF de Transition. Les cadres en emploi stable ne sont donc pas de cibles prioritaires de ce dispositif, toutefois je vous conseille de déposer une demande financement de votre formation, il y a toujours une chance que cela passe.

Il est conseillé de faire appel à un Conseil en Evolution Professionnel qui vous aide à définir votre projet.

En 2019, les demandes de CPF de transition se font auprès des FONGECIF. A partir de 2020, cela sera auprès de France Compétences.

Pour les occitans, vous pourrez vous renseigner auprès du FONGECIF Occitanie.

Les Conditions de financement de la formation par le CPF de transition :

Conditions d’emploi :
  • 24 mois d’activité consécutifs ou non avec 12 mois au sein de la même entreprise
  • 24 mois d’activité consécutifs ou non au cours des 5 dernières années avec 4 mois sous CDD dans les 12 derniers mois.

Ces conditions sont supprimées pour les salariés handicapés ou pour certains salariés licenciés (Motif économique et inaptitude)

Formalité de la demande :

Le salarié devra informer l’entreprise en respectant un délai suffisant soit :

  • 60 jours avant le début de la formation si celle-ci dure moins de 6 mois ou si celle-ci est à temps partiel
  • 120 jours avant le début de la formation, si la durée de celle-ci est supérieure à 6 mois.

L’employeur a 30 jours pour répondre et ne peut que différer ce congé de transition professionnelle dans la limite de 9 mois maximum. En effet, l’entreprise peut décaler le projet sous certaines conditions relatives au nombre de salarié en congé de transition professionnelle.

Rémunération du salarié

Le salarié touche un revenu durant sa formation  basé le salaire moyen de référence, calculé à partir des 12 derniers mois pour les salariés en CDI et des 4 derniers mois pour les CDD :

  • 100% du salaire moyen de référence si inférieur à 2 SMIC
  • 90% du salaire moyen de référence si supérieur à 2 SMIC et la formation inférieure à un an / 1200 heures à temps partiel

La Pro-A

« Pro-A » vise à faciliter l’évolution ou la réorientation professionnelle, via une formation en alternance visant une qualification reconnue. Organisée en alternance, l’action de formation est décidée conjointement par l’entreprise, le salarié fait l’objet d’un avenant au contrat de travail du salarié bénéficiaire.

Les conditions de la Pro-A étant tellement restrictives que nous ne décrirons que peu ce dispositif :

  • Niveau de qualification du salarié inférieur à Bac+2 à l’entrée en formation, il faudra donc pour le candidat au Master 2 marketing Digital de TSM faire une validation d’acquis professionnelle pour entrer en formation
  • Salarié en CDI ou CUI-CDI
  • Objectifs de changement de métier ou de profession ou une promotion sociale ou professionnelle
  • Financement de la formation par les OPCO sur les fonds mutualisés au titre de l’alternance tel que les contrats de professionnalisation

Il s’agit donc d’un dispositif qui ne touchera que très peu de candidat au Master au Master 2 Marketing Digital.

Plus d’information sur la pro-A 

Plan de développement des compétences de l’entreprise

Votre employeur, entreprise ou organisme, a des obligations de formation de ses salariés et donc un budget de financement de la formation au travers de son plan de développement des compétences (anciennement plan de formation) :

  • Géré par un OPCO pour les entreprises de moins de 50 salariés
  • Géré par l’entreprise de plus de 50 salariés ou voire à un organisme externe

L’employeur doit assurer l’adaptation de ses salariés à leur poste de travail et veiller au maintien de leur capacité à occuper leur emploi, au regard notamment des évolutions technologiques. Pour cela, il doit leur proposer des formations prévues dans le cadre du plan de développement des compétences, anciennement le plan de formation.

Votre employeur est dans l’obligation de vous former au moins une fois tous les 6 ans en dehors des formations obligatoires à la pratique de votre métier, mais c’est lui qui a le choix de la formation.

Les obligations de formation des employeurs sont donc minimes, il est simplement important de savoir que des financements dédiés à la formation existent pour les employeurs dans le cadre de la négociation de votre formation avec lui.

Renseignez-vous auprès de votre dirigeant, DRH ou RH formation et voire votre OPCO.

Les financements de la formation pour les demandeurs d’emploi :

Le contrat de professionnalisation

Le contrat de professionnalisation est un contrat de travail en alternance conclu avec un employeur privé. La formation est alors financée par l’employeur et son OPCO. Il est peut être conclu en CDI ou en CDD de 6 à 12 mois.

Il vous faudra donc trouver un organisme privé pour vous embaucher en contrat de professionnalisation pour financer votre formation Master 2 Marketing Digital. Les métiers du Digital étant très demandé, vous trouverez de nombreuses offres d’emploi et d’alternance sur le web ou encore auprès de TSM.

Le contrat de professionnalisation s’adresse aux :

  • demandeurs d’emploi de plus de 26 ans et plus,
  • bénéficiaires du RSA, de l’allocation de solidarité spécifique (ASS), de l’allocation aux adultes handicapés (AAH),
  • personnes ayant bénéficié d’un contrat unique d’insertion (CUI),
  • jeunes de 16 ans à 25 ans révolus (26 ans moins un jour).

La rémunération durant votre formation :

Comme tout contrat de travail il y a une rémunération du salarié. La rémunération minimale à est fixée en pourcentage du SMIC ou du minimum conventionnel.

Pour les demandeurs d’emploi de plus de 26 ans, il s’agit au moins du SMIC ou 85% de la rémunération minimale conventionnelle ordinaire. Salaire qui pourra être compléter par votre ARE selon votre situation.

Financement de la Région

L’Université du Capitole est conventionnée par la Région Occitanie. Les demandeurs d’emploi, dont le dernier diplôme date de plus de 24 mois, peuvent obtenir un financement de leur formation par la Région.

Le financement de la région couvre :

  • les frais de formation
  • Rémunération prise en charge sous condition par les différents financeurs.
  • Protection sociale financée par la Région pour les stagiaires n’en bénéficiant pas par ailleurs

Pour conclure sur le financement de votre formation

Les possibilités de financement sont multiples mais il s’agit tout de même d’un parcours du combattant pour obtenir le sésame. Surtout la dernière réforme de 2018 n’avantage pas les cadres en évolution ou reconversion professionnelle en terme de financement de la formation.

La solution qui semble le plus simple et la plus sûre est de négocier avec son entreprise (ou une nouvelle) pour financer ou co-financer sa formation. J’ai personnellement opté pour ce choix même si les négociations ne sont les plus aisées quand on part en demandeur.

Je vous rassure le jeu en vaut la peine !

Damien
Stagiaire en Formation Continue du Master 2 Marketing Digital de TSM

Avis clients, levier essentiel du marketing digital

Consulter les avis des autres clients via Internet est devenue une étape presque incontournable chez le consommateur dans son parcours d’achat. Au travers des réseaux sociaux, forums et sites d’avis, Internet est un média sur lequel se joue la réputation des entreprises et par ricochet leurs ventes.

Mais au-delà de la e-réputation, d’autres enjeux se jouent autour des avis clients, à condition de bien les exploiter. Les recommandations et témoignages clients sur le web sont désormais un levier du marketing digital à part entière, autour duquel un véritable business s’est développé.

L’importance des avis clients sur Internet pour les entreprises

A l’ère du « prosumer » et du « smart shopper », les consommateurs ont pris l’habitude de se renseigner auprès des internautes à propos d’une entreprise, un produit ou un service avant de passer à l’acte d’achat. Ainsi, selon une étude Ifop réalisée en 2016, 80 % des consommateurs se renseignent sur Internet avant d’acheter. 88% des individus consultent des avis avant de réaliser un achat en ligne et 73% avant un achat en magasin.

Mieux encore, les consommateurs dépenseraient 31% en plus chez une entreprise dont la note est « excellente » selon le magazine Forbes.

Pour le Journal du Net, 95% des internautes qui émettent des avis négatifs deviennent des clients fidèles lorsqu’ils obtiennent un retour rapide et adapté.

Les avis sur le web ont aussi une influence sur l’efficacité des campagnes offline (TV, presse ou prospectus), puisque plus de 85% des individus voulant en savoir plus, après avoir été exposés à un message publicitaire offline, le feront via Internet.

On constate donc qu’en ces temps où le rapport de force entre le producteur et le consommateur tend à s’inverser et où les techniques de promotion traditionnelles perdent en efficacité, les avis clients s’imposent comme une nouvelle arme pour les responsables marketing à tous les stades de leur relation avec le consommateur : acquisition, conversion et fidélisation.

Tirer parti au mieux des avis clients en ligne

On s’en doute, tel le bon vieux bouche-à-oreille, avoir de bons avis à propos de son entreprise, de ses produits ou services, permettra de séduire de nouveaux consommateurs en quête d’une expérience client la plus satisfaisante possible. Ils les rassureront sur la qualité de l’offre et, grâce à l’expérience des autres utilisateurs, la rendra plus tangible.

Mais ce n’est pas tout, en exploitant bien ses avis clients ceux-ci vont venir renforcer l’action d’autres leviers du marketing digital.

Améliorer son référencement naturel grâce aux avis clients

Intégrer les avis clients à son site internet viendra naturellement apporter un contenu nouveau et original dont les robots des moteurs de recherche sont friands. Ce sera un moyen simple d’alimenter son site régulièrement avec un nouveau contenu et d’explorer un peu plus le champ sémantique autour de sa propre offre.

Autre avantage, si votre site internet intègre des données structurées, les avis clients sont souvent repris par les moteurs de recherche dans les résultats enrichis, les fameux « rich snippets ». Votre note, ainsi présente dans les pages de résultats de recherche (SERP), viendra améliorer le taux de clic ce qui enverra un signal positif aux moteurs de recherche pour le positionnement du site.

Améliorer ses campagnes de SEA grâce aux avis clients

De la même manière que pour les résultats de recherche organique, l’apparition des fameuses étoiles sur votre annonce dopera le taux de clic. L’extension « Avis sur le marchand » dans une campagne Adwords améliorerait de 17% le taux de clic.

Mais cela se mérite, pour que Google affiche cette extension les avis doivent émaner d’un tiers et il faut avoir enregistré à minima 100 avis uniques par pays concerné et une  note globale de 3,5 étoiles ou plus.

Doper ses supports marketing avec les témoignages clients

Qu’ils soient offline ou online, n’hésitez pas à enrichir vos supports marketing et toute prise de parole par les avis de consommateurs. Cela peut même constituer le centre de la thématique comme dans un emailing (ex : « Découvrez nos produits les mieux notés », « Notre service client vient d’obtenir 5 étoiles »  ….), dans un post sur les réseaux sociaux , comme preuve sociale sur une landing pages….les utilisations sont nombreuses, il ne faut pas s’en priver.

Un élément de réassurance pour booster son taux de conversion

Bien sûr, les avis clients viendront conforter les consommateurs qui ont besoin de se rassurer au moment de sortir leur carte bleue. Ne pas oublier de les faire apparaître dans le footer ou le header de son site afin de s’assurer qu’ils apparaissent à toutes les étapes du tunnel de conversion.

Selon le site Ecoreuil, ajouter des témoignages à son site internet pourrait augmenter la conversion de 34% (et jusqu’à 50% quand ils sont placés sur des pages clés du processus d’achat).

Un outil de fidélisation

Les avis (et plus souvent les bons) ne viendront pas d’eux-mêmes. Solliciter ses clients pour récolter leur avis est un premier pas pour une relation plus poussée et une meilleure connaissance de ses clients. Cela permettra de gérer un mécontentement qui n’aurait peut-être pas été exprimé (mais préjudiciable), mais également de détecter de potentiels promoteurs de vos services.

A travers les avis c’est toute la  gestion de la relation client qui peut être alimentée et améliorée.

Le business des avis en ligne

Pour toutes ces raisons, récolter un maximum d’avis (ils sont à 93% positifs pourquoi s’en priver) est donc devenu une étape incontournable pour tout bon responsable marketing.

Soit les sites le font par eux-mêmes, c’est le cas particulièrement sur les plateformes de mise en relations directes comme Air B&B ou Blablacar, car la recommandation est au cœur de leur dispositif. Pour les e-commerçants, les CMS comme Prestashop ou Magento permettent aussi de récolter des avis directement sur son site.

Soit ils peuvent faire appel à des prestataires de collecte d’avis : les acteurs dans ce domaine sont devenus très nombreux en quelques années et externaliser cette tâche est devenu très courant pour les entreprises (BazaarVoice leader mondial en la matière a ainsi géré en 2016 près de 2000 milliards d’avis en France !). On retrouvera ainsi des généralistes tels que TrustPilot, Avis Vérifiés, Trusted Shops et d’autres plus spécialisés comme AlloGarage ou PlusquePro.

Les grands acteurs du digital ne sont pas en reste, on peut attribuer une note et donner des avis sur la page Facebook d’une entreprise. Idem avec Google et les fiches Google My Business sur lesquelles on peut déposer facilement un avis mais aussi en activant le programme «Google Avis clients » via un compte Merchant Center.

Reste à lever le doute sur la transparence des avis…en 2017 la DGCCRF estimait que 35% des avis en ligne étaient frauduleux. Après une première étape en 2013 avec la mise en place d’une certification NF Service avis en ligne par l’AFNOR, le 1er janvier 2018, un décret d’application de la loi numérique est rentré en vigueur afin d’encadrer plus strictement ces contenus. Ainsi :

« Toute personne dont l’activité consiste à collecter, modérer ou diffuser des avis de consommateurs en ligne devra assurer une information loyale, claire et transparente sur les modalités de publication et de traitement de ces avis . »

Espérons que cette législation permette de voir se tarir le business des faux avis avec des sites tels que acheter-des-avis.com ou acheter-des-fans.com et retrouver un peu de fair-play dans cette guerre des étoiles.

Un blog pour optimiser le SEO d’un site ecommerce

blog dans stratégie SEO

L’intérêt d’un blog dans la stratégie de référencement naturel d’un site marchand

La complexité des règles imposées par Google et les autres moteurs de recherche impose, aux responsables webmarketing des sites marchands, de renouveler constamment leur stratégie d’acquisition de nouveaux clients.

Le blog semble être une bonne solution pour attirer du trafic de qualité.

L’idée est de produire du contenu pertinent pour les internautes visitant le blog, et de les renvoyer vers le site marchand grâce à un système de backlinks optimisé et «Google friendly».

Un blog sur son site ou sur un nom de domaine spécifique

Les intérêts du blog intégré au site marchand

Lorsque le blog est inclus dans le site marchand, alors il bénéficie du nom de domaine, et de fait, du trafic du site référent.

C’est à privilégier lorsque vous avez déjà une certaine notoriété et que vous souhaitez apporter du contenu de qualité (conseils, informations, tutoriels) à vos clients ou visiteurs.

Par exemple, la société Batinea a très bien fait cela pour présenter les différents types de VMC qu’elle vend. Ainsi son blog contient un post présentant les différents types de VMC existantes, et permettant à ses clients d’y voir plus clair.

batinea

Un autre point positif au blog inclus dans le site marchand est qu’il permet également de contribuer à la notoriété du site marchand, à sa crédibilité, sa légitimité, ce qui améliore votre positionnement dans les SERP (Pages de résultats de recherche) et votre visibilité internet.

Enfin, d’un point de vue technique, cette solution est simple à gérer.

Les intérêts du blog offsite

Si vous avez bien travaillé le maillage interne de votre site marchand en respectant les règles de base SEO, alors le blog externe s’avère être une très bonne solution, voire la solution optimale pour obtenir des backlinks qualitatifs (liens vers votre site).

C’est la stratégie digitale qui a été mise en œuvre par la société ufindeer qui, pour préparer le lancement de sa marketplace dédiée aux accessoires érotiques, a créé le blog lepetitplayzeer.com pour capter du trafic qualifié et le fidéliser avant d’inclure, avec modération, dans les pages de son blog des liens renvoyant vers des landing pages de sa marketplace.

lepetitplayzeer.com

Un autre objectif du blog « séparé » est de pallier le manque de notoriété du site marchand référent. Le blog va gagner en visibilité, en crédibilité et en légitimité grâce aux liens de partage des médias sociaux. De ce fait, assurez-vous de toujours ajouter les boutons de partage sur vos posts (Facebook, Twitter, Google+, Instagram, Pinterest, linkedin, etc..).

Le premier point négatif  est technique. En effet, il faut gérer deux noms de domaine différents.
Autre point négatif : il faut travailler le référencement de deux noms de domaine au lieu d’un seul.

Un blog dans tous les cas

Un blog reste un outil SEO indispensable pour doper le référencement de votre site ecommerce. Il n’y a pas une solution meilleure que l’autre entre le blog onsite et offsite. Tout dépend de votre stratégie webmarketing globale et de vos objectifs.

Un blog réussi = un blog avec du contenu pertinent pour l’internaute

La règle de base de tout blog efficient est de fournir du contenu de qualité qui va apporter une réponse pertinente à la requête de l’internaute.

Ainsi, le contenu de votre blog doit être cohérent avec celui de votre site marchand référent.

En matière de SEO, il est important d’utiliser des mots clés recherchés dans Google, et leurs synonymes, pour être bien positionné dans les résultats de recherche (SERP). Attention à bien réfléchir à votre balisage sémantique pour éviter tout biais sémantique et ses conséquences (exemple : répéter trop souvent sex and the city dans un post pourrait le positionner dans les résultats de recherche « sex »).

En suivant les règles suivantes sur votre blog, vous devriez gagner en visibilité et en positionnement SEO dans Google

Soyez créatif : Créez du contenu nouveau et original

Evitez le duplicate content : autrement vous serez pénalisé par Google

Optimisez la stratégie de backlinks vers votre blog afin de limiter le taux de back ou le taux de rebond. Les landing pages doivent être en adéquation avec les liens. Faites-le avec Unbounce

Le maillage interne doit être bien pensé : l’expérience de navigation sur votre site n’en sera que meilleure.

Attention à bien respecter les règles de Google dans la gestion du référencement de votre blog

Attention aux trop nombreux backlinks vers votre site provenant d’une seule source qui pourraient être considérés comme du spaming par google.

N’abusez pas de la balise <canonical> dans le code de vos pages en cas de réplication de contenu. En effet, Google pourrait décider demain de ne plus prendre en compte cette balise. Le risque serait d’être fortement pénalisé en termes de référencement SEO et de visibilité internet sur vos mots-clés.

Bien optimisé, le blog peut être un outil SEO particulièrement efficace pour améliorer votre visibilité et celle de votre site marchand.

Comment prospecter sur les réseaux sociaux professionnels ?

 

 

prospecter réseau social professionnel

 

Les réseaux sociaux sont devenus des supports efficaces pour identifier des opportunités d’affaires, obtenir des informations détaillées sur les prospects et faire le premier pas commercial.

Comment ? En créant une communauté autour de vos produits, services ou expertise.

Cette méthode de prospection a 3 principaux avantages :

            – Atteindre des volumes plus importants ; les internautes consacrent aujourd’hui 22% du temps passé sur internet aux réseaux sociaux. Avoir un profil est le moyen de gagner en visibilité

            – Obtenir des informations sur votre cible, en ayant accès à une quantité de données permettant d’affiner votre segmentation et de créer un fichier de prospects qualifié. A l’inverse de la prospection téléphonique et des campagnes emailing, vous avez la possibilité de vous affranchir des intermédiaires et de contacter directement les décideurs via leur profil.

            – Limiter les frais de communication et de prospection ; tous les réseaux proposent une inscription et des fonctionnalités gratuites, vous permettant d’interagir avec votre communauté.

Cependant, créer une page fan Facebook ou un compte Twitter peut s’avérer inutile voire contreproductif si aucune démarche structurée et cohérente n’est définie en amont.

 Voici les 4 points stratégiques pour une prospection sociale efficace :

 

1/ Choisissez votre réseau social professionnel

Inutile de multiplier les pages et les comptes sociaux, l’important est de déterminer sur quel(s)réseau(x)) se trouve votre cible.

Les contacts issus d’un réseau social sont potentiellement des prospects. Un internaute qui devient fan ou ami d’une entreprise sur Facebook, s’abonne à son Twitter ou sa page Pinterest ou l’ajoute à ses contacts sur Viadeo ou LinkedIn montre un certain intérêt pour l’entreprise.

Ex : une entreprise ayant une activité B to B aura plus de mal à communiquer via les réseaux sociaux grand public qui sont pour la majorité utilisés à titre personnel.

D’un autre côté, les nouvelles générations (15 à 25 ans) utilisent davantage les réseaux sociaux que leurs aînés. Chaque cible a ses particularités.

 

2/ Définissez une stratégie avec des objectifs clairs

Une fois la cible et le réseau social déterminés, le plus important est de mettre en place une stratégie en se fixant des objectifs précis et mesurables.

Ex : augmenter la notoriété de l’entreprise, fidéliser les clients, trouver des prospects, faire du crowdsourcing (consultation des internautes sur le développement d’un produit). Vous devez obligatoirement accompagner ces objectifs d’indicateurs mesurables : augmentation du trafic vers le site, augmentation du nombre de contacts…

 

3/ Créez un profil professionnel attractif et le mettre à jour régulièrement

Il s’agit de votre carte de visite digitale, soigniez votre présentation et participez régulièrement à des groupes de discussions et des forums en offrant des conseils et expertises à votre communauté.

L’objectif est de capter l’attention des internautes grâce à des interventions pertinentes.

Il est important d’être régulier dans la publication de contenu et réactif vis-à-vis des interactions avec les abonnés.

Ex : Il peut être intéressant de mettre en place des types de publications régulières, tous les lundis, une actualité tous les mois une vidéos de démonstration, un témoignage, tous les, un sondage, une étude de cas…

 

4/ Construisez et entretenez votre réseau social professionnel

Le plus difficile consiste à créer son réseau. Plusieurs moyens permettent d’augmenter le nombre d’adhésions :

– Demandez à votre entourage et salariés de l’entreprise de s’inscrire

– Proposez aux clients une rétribution à l’issue de l’inscription (bon de réduction, livraison offerte, produit gratuit, etc.)

– Organisez un concours : faire gagner un ou plusieurs lots aux membres de la communauté en leur demandant d’inviter leurs propres contacts

– Développez un jeu adapté au réseau social

 Identifiez les influenceurs qui partagent, commentent, diffusent, les contenus sur d’autres supports. Ils deviendront les meilleurs ambassadeurs de l’entreprise. A vous de les détecter et les impliquer sur votre page.

 

En résumé, la prospection sur les réseaux sociaux nécessite l’élaboration d’une stratégie de prospection qui va permettre de déterminer sur quels supports communiquer, et les objectifs de résultats mesurables. La deuième clé du succès réside dans la régularité et la pertinence des interventions. Inutiles de saturer les réseaux par des images, textes, vidéos de tout genre. Votre contenu doit apporter de l’information, des réponses, des conseils à votre communauté.

 

Les mises en gardes :

            – La prospection sur les réseaux sociaux doit être un élément complémentaire à la stratégie de prospection. Elle permet de booster le fichier client et la stratégie de fidélisation.

            – Ce type de prospection n’est pas adaptée à toutes les entreprises. Certaines cibles ne sont pas encore familiarisées avec ces supports.  A vous de déterminer en amont la propension de vos clients cibles présents sur les réseaux.

 

A vous de jouer, et n’oubliez pas :

«Les médias sociaux est un domaine d’activité dans lequel vous n’avez pas besoin de dépenser plus que vos concurrents afin de les battre» – Hal Stokes

 

Pour en savoir plus : 

http://www.journaldunet.com/ebusiness/le-net/reseaux-sociaux/

http://www.huffingtonpost.fr/news/reseaux-sociaux/

SEO : mots-clés et synonymes

Au-delà de la qualité du contenu, un bon référencement implique de respecter certaines règles d’écriture. Savoir choisir les bons mots clés est important pour optimiser son SEO, y associer des synonymes multipliera les possibilités d’une meilleure visibilité

Choisir les bons mots clés

Pour commencer, limitez vous à une cinquantaine de mots-clés. En lien avec votre activité, ces mots clés peuvent recouvrir : la marque, les produits, l’enseigne les pages…Ils doivent être pertinents et en relation avec le contenu.

De nombreux outils peuvent vous aider à définir les bons mots-clés sur lesquelles vous estimez qu’il est important d’être bien positionné. En revanche ils ne remplaceront pas la reflexion humaine dans le choix de ceux-ci.

  •  Google Suggest /  Google Trends / Google Web Master Tools /  Semrush…

Google Keyword Planner, peut par exemple vous permettre de vérifier facilement la popularité d’un mot clé et de ses synonymes en comparant leurs volumes de recherche mensuels

Il vous permettra également de voir si vos mots clés choisis sont concurrentiels. En effet, ne cherchez pas à vous battre sur des terrains perdus d’avance, plus les mots- clés sont génériques et populaires, plus il sera difficile de se positionner.

La bonne pratique est de mettre en avant une série de mots-clés « longue traine » plus précis qui génèreront moins de trafic mais mieux ciblé.

Courbe des requêtes clés

Source : webmarketing.eolas.fr

Restez naturel, utilisez des synonymes

Il est faux de penser que plus de fois vous utilisez un mot clé dans votre page et meilleur sera son positionnement. En effet, vous finiriez par alourdir votre contenu et à ne plus écrire naturellement.

Ne cherchez pas à écrire pour Google, restez naturel et utilisez des synonymes pour multiplier les possibilités.

L’usage des synonymes enrichira le champ lexical et permettra aux algorithmes de Google de comprendre vraiment le sens du contenu de votre page, il pourra ainsi y associer des requêtes plus précises et vous fera  gagner en visibilité.

Attention au langage ! Même si vous êtes certains d’employer la bonne terminologie pour votre produit/service, posez vous aussi la question de savoir si ces mots ont du sens pour l’internaute et s’il ne vaut mieux pas utiliser leur synonymes. Il faut s’extraire du vocabulaire de l’entreprise s’il est purement interne.

L’internaute dit-t-il « cumulus », « chauffe-eau» ou « ballon d’eau chaude » ?

Mot clé (par ordre de pertinence)
Nombre moy. de recherches mensuelles
Concurrence
 cumulus
 74 000
 Faible
 chauffe-eau
 33 100
 Élevée
 ballon d’eau chaude
 12 100
 Élevée

Source : https://adwords.google.fr/ KeywordPlanner (Avril 2015)

Dans cet exemple, on cherchera plutôt à positionner le mot clé « cumulus » pourtant très peu utilisé dans le jargon technique interne de l’entreprise. De plus, on notera que « cumulus » est faiblement concurrencé.

Choisir les bons synonymes

Il faut évaluer l’environnement sémantique de vos mots clés en vous concentrant sur leurs variantes et leurs synonymes :

  1. Décliner les mots clés « de base » avec Google Web Master Tools
  2. Utilisez Microsoft Word ou des dictionnaires pour créer une première liste de synonymes et mots similaires
  3. Utilisez Google Suggest et de façon empirique pour tester ces déclinaisons et trouver les plus pertinentes.

Avec les bons mots clés et les bons synonymes, il ne vous reste plus qu’à rédiger votre contenu en gardant toujours à l’esprit d’écrire le plus naturellement possible pour la compréhension de l’internaute et l’interprétation de notre « cher » Google.

 

Pour aller plus loin : 

Matt Cutts donne son avis sur l’utilisation des synonymes afin d’optimiser son SEO

Lien : https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=NpnnXt7CHMU

5 questions à se poser avant de traduire le site web de sa société

Traduire site web se international5 questions à se poser avant de traduire le site web de votre société

Ca y est, vous avez lancé votre produit novateur ou votre service pionnier en France. Votre stratégie est au top et vous êtes prêt à conquérir le monde. Il ne reste plus qu’à traduire le site web de votre société et le tour est joué. Toutefois, afin de mettre toutes les chances de votre côté, il convient de se poser quelques questions avant de vous lancer:

1. Est-ce que le site web est à jour?

Pensez tout d’abord à vérifier le côté technique de votre site web et à regarder la structure du site, les dernières mises à jour de votre CMS (le système de gestion de votre site web), vos plug-in, widgets, la version PHP utilisée, etc. Cette étape ne vous servira pas seulement à mieux connaître votre site mais également à voir s’il est toujours adapté aux dernières exigences d’un monde de plus en plus mobile. Si votre site n’est plus à jour, vous risquez d’avoir d’autres priorités avant de passer à sa traduction.

Il est également primordial de vérifier la qualité du contenu à traduire :

  • le site web reflète fidèlement vos produits et/ou services tels que vous les proposez ou comptez les proposer à l’étranger. Le contenu et les images sont orientés vers le public que vous ciblez et tiennent compte de leurs goûts et préférences
  • le langage utilisé est clair, précis, accueillant et permettra une traduction de qualité. Préférez un langage simple et direct. Si vous avez des doutes à ce sujet, n’hésitez pas à repasser vos textes au crible avant de faire traduire le site web. Le contenu de départ doit être excellent.
  • le contenu du site n’est pas été composé de toutes pièces avec des morceaux de texte et des photos ou vidéos glanés un peu partout mais est vraiment propre à votre site web. Evitez également d’avoir trop de contenu dans votre site qui se répète ailleurs sous une autre adresse url (contenu dupliqué).
  • d’un point de vue purement SEO et référencement naturel, il convient de vérifier les mots clef à traduire, la pertinence des liens, des url, des méta-descriptions, les alt-text des images,… et de vérifier votre positionnement et votre indexation actuelle pour les différents moteurs de recherche. Il est important qu’on trouve votre site sur internet, que ce soit en France ou à l’étranger.

2. Quelle image souhaitez-vous donner à l’étranger?

Ne partez pas du principe que ce qui marche en France, marchera également à l’étranger. Les différences culturelles et linguistiques entre les pays ont tout leur charme mais peuvent également entraîner des soucis de compréhension. Surtout évitez de créer la confusion en passant par des services gratuits ou à bas prix pour faire traduire un site web qui doit garantir votre réussite à l’international.

Les traducteurs automatiques peuvent s’avérer utiles dans la vie de tous les jours mais ne sont pas adaptés au monde professionnel. Google Translate en est un bon exemple : ce service gratuit permet bien aux internautes de mieux se comprendre mais risque de désorienter les visiteurs de votre site. Un exemple au hasard:

Traduire-site-web-google-translate

Avec une telle traduction, vous n’aurez non seulement pas réservé de table au restaurant de votre choix mais vous risquez surtout de vous retrouver à la maison le soir sans rien à manger.

Si vous utilisez ces outils pour traduire le site web de votre société, vous prenez le risque de faire fuir vos visiteurs à grands pas. Personne n’achètera votre produit s’il ne peut pas faire confiance à ce que vous racontez. D’ailleurs, les traductions automatiques sont perçues comme du contenu dupliqué par… Google lui-même et sont donc à éviter pour traduire un site web.

Le contenu d’un site web doit être original, pertinent et respecter la langue de vos clients dans toutes ses finesses si vous voulez donner une bonne image à l’étranger. Sachez que la perception des couleurs varie également de pays en pays. Parfois, il convient même de changer la charte graphique des publications web pour mieux s’adapter à son public.

3. Quel est mon public ou pays ciblé?

Il est possible d’adapter votre site web à l’international en ciblant une ou plusieurs langues spécifiques et/ou en visant un ou plusieurs pays (geotargeting). Contactez votre webmaster ou votre développeur pour savoir quelles sont les possibilités de votre site actuel avec le contrat que vous avez en place. Quelques idées complémentaires :

  • Google analytics et Google Webmaster Tools peuvent vous donner une idée de la provenance du trafic actuel sur votre site et vous aider à déterminer s’il est plus judicieux de cibler plutôt les langues et/ou les pays.
  • Si vous disposez d’un budget suffisant, il est possible de lancer plusieurs sites web sur plusieurs pays ou dans plusieurs langues afin de déterminer quel public réagit le mieux et d’ajuster votre stratégie en fonction des résultats obtenus
  • Dans certains cas, il peut s’avérer utile d’héberger son site dans le pays de destination et/ou d’utiliser une équipe de SEO locale pour augmenter la visibilité de votre site sur place

Le résultat de toutes ces recherches vous permettra de mieux définir votre stratégie internationale et de déterminer la structure, l’arborescence et la mise en place finale de votre site web multilingue/multirégional. Il faut également savoir que toutes les finesses SEO (url, méta-descriptions, liens, etc) sont à adapter à la langue ciblée si vous voulez gagner en visibilité.

4. Quelles personnes contacter?

Si toutes ces questions vous désorientent plus qu’autre chose, pas de panique. Il existe des personnes qui peuvent vous aider :

  • Votre webmaster, votre développeur web et votre hébergeur pour le côté technique
  • Les traducteurs, agences de traduction ou les contacts que vous avez sur place, qui peuvent vous renseigner sur la qualité et la pertinence des contenus fournis par rapport à votre public et à votre objectif international.
  • Les spécialistes en localisation et en SEO international, qui vous aident à adapter votre site web aux pays et langues ciblés afin qu’on retrouve facilement votre site web dans les moteurs de recherche des pays concernés.

5. Quel est mon budget ?

La définition du budget nécessaire pour optimiser et traduire le site web vous obligera probablement à étaler vos actions internationales dans le temps. Qu’à cela ne tienne, il faut bien commencer quelque part. Si vous avez su répondre aux questions ci-dessus, vous savez maintenant où vous en êtes et où vous souhaitez aller. Libre à vous de définir les étapes.

Dernière petite astuce: pensez à bien noter tous les frais ainsi que les heures passées à mettre en route la version multilingue/multirégionale de votre site et comparez ce coût aux premières retombées de votre site web: ceci vous donnera un ROI qui vous permettra d’orienter vos actions dans l’avenir.

En résumé, si vous n’avez pas de force de vente internationale et que votre site web est la clef de votre succès à l’étranger, pensez d’abord à optimiser son contenu et à définir votre stratégie internationale afin d’obtenir des traductions adaptées qui mettront toutes les chances de votre côté.

N’hésitez pas à faire part de vos commentaires et à compléter ces informations avec vos propres expériences afin de mieux aider tous ceux qui aimeraient se lancer à l’international.

Quelques références pour plus d’informations:

 

Comment tracker une campagne emailing avec Google analytics ?

Comment tracker une campagne emailing
avec Google analytics ?

Tracker une campagne emailing avec Google analytics permet de mesurer sa performance. Suivez pas à pas la mise en place rapide de cette méthode de tracking, c’est simple et efficace !

Créer un lien vers la page de destination

La page de destination de la campagne emailing doit être une page sur laquelle le suivi Google analytics est installé. Ce tracking peut également être mis en place pour les campagnes renvoyant vers une page web et ayant comme support un QR Code, une bannière…

Avant toute chose, il est nécessaire de lister la/les url(s) de la campagne emailing que vous souhaitez tracker. Exemple : emailing de lancement d’un ouvrage renvoyant vers la fiche produit du site e-commerce

Zoning d'un email pour tracker une campagne emailing avec Google analytics

Pour cette campagne emailing, nous  allons tracker le visuel de l’ouvrage et le bouton call to action « Je commande ». Dans ce cas, la page de destination est la fiche produit de l’ouvrage de votre site. Pour le tracking du lien d’inscription à la newsletter, la page de destination sera la homepage du site.

Remplir le formulaire de « création url » dans Google analytics

Vous avez déjà fait la moitié du travail ! Il ne vous reste plus qu’à remplir le formulaire Google analytics et créer une url finale pour chaque élément de la campagne emailing que vous souhaitez tracker.

Les informations du formulaire Google analytics à compléter :

Il existe en tout 5 paramètres pour une campagne personnalisée, mais dans le cas d’une campagne d’emailing, seuls les 4 paramètres ci-dessous sont utiles :

  • Url du site web : le lien de la page de destination, précédemment récupéré. Elle permet d’identifier l’annonceur, le site, la publication ou autre source générant du trafic vers votre site. Exemple le lien de la fiche produit de l’ouvrage du site : http://nomdedomaine.fr/ouvrage/titreouvrage.html
  • Source de la campagne : emailing
  • Support de la campagne : email
  • Terme de la campagne : paramètre facultatif à utiliser pour dissocier plusieurs emplacements dans un même emailing. Exemple : bouton-commande 
  •  Nom de la campagne : paramètre d’identification du nom de la campagne relative au produit, son slogan, ou encore son code promotionnel. Exemple code offre de la campagne : CUL

Astuce : pour identifier le trafic généré sur le site transactionnel via les campagnes emailings, pensez à bien utiliser le même nommage (reprendre exactement les mêmes libellés, sans majuscules, sans accent…) pour chacun de ces éléments, afin de pouvoir faire des statistiques « croisées ». 

A vous de jouer ! Cliquez sur le lien vers l’outil de création url mis en disposition par Google analytics : https://support.google.com/analytics/answer/1033867?&rd=2

Obtenir l’url finale de tracking

Après validation du formulaire, une url finale ou url contenant les paramètres de tracking  est accessible. Vous pouvez paramétrer votre emailing.

Exemple de l’url du visuel de l’emailing : http://nomdedomaine.fr/ouvrage/titreouvrage.html?utm_source=emailing&utm_medium=mail&utm_term=visuel&utm_campaign=CUL

Attention, pour le cas des urls contenant une ancre, il est indispensable de placer l’ancre en fin d’url, après le tracking, pour que l’url redirige vers la zone choisie. Exemple : Pour l’url  « nomdedomaine.fr#newsletter », l’ancre est « #newsletter ». Si on ajoute des paramètres de tracking, l’url devient « nomdedomaine.fr?utm_source=emailing&utm_medium=email&utm_term=newsletter&utm_campaign=CUL#newsletter »

En utilisant ces nouvelles urls générées, vous pourrez ainsi tracker une campagne emailing avec Google analytics et accéder à différentes  statistiques « post-clic » indispensables pour calculer le ROI et comprendre le comportement des visiteurs venant de vos campagnes emailing.

Et vous, quel outil utilisez-vous pour tracker vos campagnes emailing ?

À lire aussi :

Une campagne emailing commence par un ciblage pertinent

Comment créer une landing page avec Unbounce ?

Réussir vos campagnes MailChimp

Comment créer une landing page avec Unbounce ?

Qu’est ce qu’une landing page ?

Une landing page est la page web vers laquelle renvoie un lien hypertexte dans le corps d’un e-mail commercial ou publicitaire. Son principal objectif est d’obtenir une action de la part de l’internaute en cliquant sur un lien (CTA).


 Comment utiliser l’outil Unbounce ?

Unbounce est une plateforme dédié à la création de landing page sur différents supports (ordinateur, tablette, mobile).

Pour utiliser Unbounce vous devez tout d’abord créer un compte. Une fois enregistré, vous arrivez sur la page d’accueil.
Sur cette interface, vous pouvez voir un Call To Action (CTA) vert en haut à gauche avec écrit « Create New Page ». Ce bouton vous dirige vers plusieurs exemples de landing page.

Page_exemple_landing_page_unbounce

Après avoir sélectionné votre modèle, nommé votre landing page et cliquez sur « Save & Start Editing ».

Vous arrivez donc à ce menu :

Landing_page_Unbounce

Dans le menu de gauche plusieurs onglets sont mis en avant pour créer votre landing page :

  • « Page Section » : permet de rajouter des zones textuelles, visuelles, sur votre landing page afin de la compléter davantage.
  • « Box » : donne la possibilité au créateur d’ajouter et de choisir une image ou une couleur dans un cercle bien défini.
  • « Text » : création d’une zone de texte. Pour écrire du texte vous devez double cliquer sur l’encadrement crée.
  • « Form » : donne la possibilité de réaliser et personnaliser un formulaire
  • « Embed Video » : ajout de vidéos
  • « Image » : possibilité d’insérer et de télécharger des images à partir d’une source externe au logiciel (ordinateur, usb…) sur la page.

Voici une image qui illustre mes propos :
Insérer_du_contenu_landing_page_unbounce

L’encadré quadrillé montre l’endroit ou va être inséré l’image, le texte ou la vidéo.

  • « Button » : création du CTA
  • « Custom HTML » : permet de créer sa page en utilisant le code HTML
  • « Social Widget » : ce bouton  vous permet de rajouter des liens vers les réseaux sociaux notamment Facebook, Twitter et Google+

Après la création de votre landing page, le menu de droite vous permet de la personnaliser, prenons exemple avec un CTA :

Exemple_CTA_Landing_page_Unbounce

Dans un premier temps, dans la catégorie « Properties – Link » vous devez insérer le lien de la page de destination.

Ensuite dans la catégorie « Label », vous pouvez choisir le texte qui apparaitra sur votre bouton ainsi que sa police et sa taille.

Pour terminer, vous avez l’opportunité de choisir la couleur de votre bouton uni ou dégradé. Sur cette exemple le CTA est dégradé au niveau de l’orange.

Après avoir rempli toutes ces données, cliquez sur la rubrique « Conversion Goals » afin que ce logiciel analyse le nombre de clics réalisés avec ce lien.

Courage, vous voilà presque à la fin de votre création de landing page… 😀

Aujourd’hui, de plus en plus de personnes ouvrent leurs mails sur leurs tablettes ou leurs mobiles, il est impératif de s’adapter à ces nouvelles technologies. Mais pas de panique !  😉
Unbounce nous donne l’opportunité de créer une landing page sous plusieurs formats : Desktop et Mobile (en bas à droite de votre écran).

C’est terminé, vous avez crée une page commerciale, gratuite et professionnelle  !

Avant d’envoyer votre landing page n’oubliez pas de vérifier qu’elle soit bien rédigé !
7 conseils pour réussir sa landing page !


En conclusion

Mettre en place une landing page avec Unbounce c’est bien sur gratuit, mais il faut faire attention à bien mettre en avant le CTA et ne pas charger sa page avec trop d’information !

Le référencement naturel : conseils pratiques pour débuter

référencement naturelAvoir un Site web c’est bien mais avoir un site bien positionné sur les moteurs de recherche c’est mieux. Vous qui venez de créer votre site vitrine ou site e-commerce vous devez travailler ce que l’on appelle : le référencement naturel également appelé SEO (Search Engine Optimisation). Le but du référencement naturel est de figurer dans les 1er résultats des moteurs de recherches lié aux mots clés et plus particulièrement le moteur de recherche Google car il représente près de 95% des requêtes faites par les internautes.

Tout d’abord Google va procéder à l’exploration du site afin d’indexer des pages, cette exploration se fait par des robots il faut veiller à bien activer la fonction robot txt dans le CMS sinon notre site aura aucune chance d’être indexer même si notre référencement naturel est bien optimisé. Les robots vont explorer notre site pour enregistrer des informations sur des bases de données. Il vont analyser le contenu texte du site mais également les images, les vidéos. Nous verrons pas la suite l’importance de la balise alt pour les images. Ils est conseillé d’avoir des liens externes sur son site afin d’accélérer indexations de nos pages.

Plusieurs étapes sont importantes pour l’optimisation du référencement naturel :

Le choix des mots clés :

Cette étapes doit se travailler le plus tôt possible car lors de la conception de l’ergonomie du site il sera judicieux d’insérer des mots clés dans son menu cela aidera pour son référencement naturel. Les internautes ne font plus leur recherche sur un seul mot mais avec plusieurs mots c’est ce qu’on appelé : une longue traîne. Les résultats obtenu donne une réponse plus précise à ses requêtes. Google recherche à être le plus précis lors de ces résultats suite à une demande faite par un internaute c’est pour cela que les algorithmes changent afin de réponse au mieux à la demande des internautes.Il y aura moins de trafic sur une longue traîne mais un trafic plus qualifié et donc plus de chance de convertir son trafic si nous sommes un site e-commerce par exemple.

Structure les pages de son site :

Faire le choix d’un nom de domaine pertinent par rapport à son activité mais également par rapport à la concurrence si possible. Ce nom de domaine se retrouvera dans toutes les URL de l’ensemble des pages du site.

Bien renseigner les différentes balises pour un bon référencement naturel 

-la balise title c’est certainement ce que les robots analyserons parmi les premiers éléments de nos pages donc important d’y insérer des mots clés mais faire attention à leur pertinence par rapport au contenu de la page,

– la balise méta description c’est le résumé de la page qui sera affiché par les moteurs de recherche et lu par les internautes après le titre. Si son contenu est pertinent il facilitera l’envie de cliquer. Voir l’article sur : Optimiser la balise méta description d’une page 

– la balise méta « keyword »: elle n’est plu prise en compte par google, et visible par vos concurrents le choix est personnel sur cette balise.

– les balises titres H1, H2, H3 il en existe 6, ces balises servent à structurer les pages de vos sites attention à ne pas les utiliser pour définir la taille de vos titres. Ne pas mettre une balise H3 avant une H1 google risque de ne pas aimer! L’utilisation de ces balises servent également à renseigner des mots clés pertinent toujours pour un bon référencement naturel.Ci joint un lien pour analyser les balises de son site pour cela cliquer ici

– la balise alt: cette balise est utilisé pour renseigner les images utilisées dans les pages d’un site. Il est très important de renseigner cette balise pour nommer une image et utiliser des mots clés également cela optimise le référencement naturel et google aime les images autant que du texte. Il serait dommage de perdre des points!

Ne pas oublier d’inscrire son entreprise à google adresse c’est également une possibilité de prendre des points positifs pour son référencement naturel et d’être localisé par tous.

Faire évoluer le contenu de son site :

Les robots de google vont venir régulièrement sur le site s’il se rende compte que son contenu change régulièrement, donc dans la mesure du possible il est préférable de faire évoluer le contenu, par exemple par les articles du blog, il est préférable d’avoir une régularité dans la mise en ligne des articles cela peut permettre à google d’avoir des repères.

Articles intéressant à lire :

Trucs et astuce SEO 

Comment optimiser la visibilité d’un site web

En conclusion :

Le référencement naturel c’est gratuit mais cela demande un travail régulier pour obtenir des résultats, c’est un travail au quotidien. Ne vous découragez pas! Vous verrez c’est passionnant…